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Helden ☼ Le temps ne cicatrise pas les outrages du temps.

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AuteurMessage
Helden Masculin Messages : 519
Date de naissance : 10/08/1997
Date d'inscription : 04/01/2013
Age : 26

Refugee Card
Nom: Helden
Race: Incube
Pouvoir: Immortalité
Helden
Incube
MessageSujet: Helden ☼ Le temps ne cicatrise pas les outrages du temps. Helden ☼ Le temps ne cicatrise pas les outrages du temps. Icon_minitimeJeu 30 Juin - 0:50


C'EST DE L’IDENTITÉ QU'EST NÉE LA DIFFÉRENCE.
IDENTITÉ


Personne ne connait mon véritable nom, je l'ai probablement moi-même égaré dans ma mémoire, je suis donc connu - de beaucoup - sous le pseudonyme « Helden ». Je suis un incube, je suis tellement âgé que j'ai perdu le compte, je suis pour la destruction d'Ethernity mais je ne compte pas me joindre à l'Armée. Mon pouvoir c'est une malédiction, quelque part. Je ne peux pas réellement mourir. Je reviens, toujours. Bien sûr, il y a des moyens de se débarrasser de moi pour de bon ! Mais pourquoi le vous dirais-je ? Et je suis attiré par tout ce qui peut me donner de l'énergie.

LE PAPILLON BLANC ANNONCE LE PRINTEMPS.
PHYSIQUE


Tu as bien changé, songea la faucheuse en posant son regard inexistant sur la mince silhouette du prisonnier. Ce qu’il aimait l’invoquer pour la narguer ! Mais jamais ne lui en tenait-elle rigueur, elle s’amusait également, à lui tourner autour, à constater chaque changement qui s’opérait en lui, comme il ne gardait aucune cicatrice de ses visites. Justement, en se penchant au-dessus de son corps inerte, elle remarqua comme sa peau, dépourvue de la moindre imperfection, était devenue pâle avec le temps où seule l’obscurité acceptait de l’accueillir. Son apparence ô combien trompeuse venait d’atteindre la perfection du mensonge et de l’illusion.

Il était méconnaissable.

Les doigts squelettiques de la Mort se glissèrent entre les mèches de l’incube dont les traits leurraient sur son véritable âge, lui donnant un visage juvénile pour lequel on ne donnerait pas plus d’une vingtaine d’année lorsqu’on pouvait aisément rajouter deux zéros au compteur. Des fils neigeux s’échappèrent de sa poigne inexistante et intérieurement, elle sourit. Jadis, cet homme portait fièrement les ténèbres sur ses épaules, mais les outrages du temps et de l’obscurité ne l’épargnèrent aucunement. De sa tignasse plus sombre que la nuit, il n’en restait que des fils de soie plus blancs que la neige. Ses cheveux se sont assouplis et, désormais, sont disciplinés. Qui pourrait deviner à présent, en regardant ce jeune garçon, qu’il est ce détenu, tant craint et mis à l’écart du monde ?

Il remua sous elle, reprenant vie sans pour autant regagner quelques couleurs, son teint de porcelaine le rapprochant du spectre plutôt que du vivant. Ses paupières bordées de longs cils blancs se soulevèrent lentement et révélèrent des prunelles ambrées. La faucheuse s’accrocha à ce regard éteint, où une lueur de malice dansait avec lassitude, se moquant de la perte de son éclat. Où était donc passé le rubis flamboyant de ses yeux ? Auparavant, on disait qu’il avait peint ses iris du sang de ses victimes – ou était-ce son propre sang ? -, hélas prisonnier de cette cage enchantée, il lui était impossible de prendre la vie d’autrui. Était-ce la raison de cette teinte sépia qui avait effacé ce rouge pour lui offrir le soleil ? Personne ne pourrait répondre à cette question. Les ténèbres avaient englouti son être durant tant d’années qu’on ne s’étonnait pas de le voir transformé ; si tant était que quelqu’un puisse constater sa métamorphose ; mis à part la Mort elle-même, rôdant autour de lui comme un vautour patientant que sa proie ne périsse.

L’incube à la jeunesse volée soupira d’ennui en se redressant et ne la remarqua pas, tandis qu’elle restait à son côté, les bras enroulés autour de sa nuque, prête à l’emporter dès que la dernière cloche aura sonné. Observant son environnement alors que lui ne voyait rien, rien de plus que son propre corps enchaîné, que ces barreaux qui l’empêchaient de s’en aller. Cet homme n’avait, en soit, rien de bien effrayant contrairement à ce que les rumeurs racontaient. Une taille moyenne et un corps chétif, rendu maigre par le manque de nourriture et d’exercice, condamné à rester assis là pour l’éternité.

Seulement, rien au monde ne saurait l’empêcher d’envoûter qui que ce soit. Le prisonnier restera ce qu’il a toujours été : un incube. De sa perte de couleur et d’éclat, il n’en apparaît que plus charmant, plus ensorceleur que jamais, dissimulant sous cette apparence fragile semblable à celle qu’on donne aux anges, ses plus fidèles ennemis, une force et une rancœur extraordinaires, lesquelles ne devraient point être sous-estimées au risque de rencontrer sa chère et tendre amie la faucheuse. Sa beauté incroyable est plus saisissante qu'elle ne l'avait jamais été et nul doute qu’il ferait des ravages… si seulement il n’était pas gardé captif de cette prison.

« Helden, » chuchota la Mort à son oreille. « Tu as de la visite. »


LE SOURIRE EST LE BAISER DE L'ÂME.
MENTAL


Harum trium sententiarum nulli prorsus assentior. Nec enim illa prima vera est, ut, quem ad modum in se quisque sit, sic in amicum sit animatus. Quam multa enim, quae nostra causa numquam faceremus, facimus causa amicorum! precari ab indigno, supplicare, tum acerbius in aliquem invehi insectarique vehementius, quae in nostris rebus non satis honeste, in amicorum fiunt honestissime; multaeque res sunt in quibus de suis commodis viri boni multa detrahunt detrahique patiuntur, ut iis amici potius quam ipsi fruantur.

VIVRE TUE.
HISTOIRE


Harum trium sententiarum nulli prorsus assentior. Nec enim illa prima vera est, ut, quem ad modum in se quisque sit, sic in amicum sit animatus. Quam multa enim, quae nostra causa numquam faceremus, facimus causa amicorum! precari ab indigno, supplicare, tum acerbius in aliquem invehi insectarique vehementius, quae in nostris rebus non satis honeste, in amicorum fiunt honestissime; multaeque res sunt in quibus de suis commodis viri boni multa detrahunt detrahique patiuntur, ut iis amici potius quam ipsi fruantur.

QUI AIME LA MORT AIME LA VIE.
POUVOIR


Harum trium sententiarum nulli prorsus assentior. Nec enim illa prima vera est, ut, quem ad modum in se quisque sit, sic in amicum sit animatus. Quam multa enim, quae nostra causa numquam faceremus, facimus causa amicorum! precari ab indigno, supplicare, tum acerbius in aliquem invehi insectarique vehementius, quae in nostris rebus non satis honeste, in amicorum fiunt honestissime; multaeque res sunt in quibus de suis commodis viri boni multa detrahunt detrahique patiuntur, ut iis amici potius quam ipsi fruantur.

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